Les pouvoirs publics ont souhaité la création des CNP, chargés de toutes les démarches pour les recommandations sur les bonnes pratiques et leur diffusion, aidant au maintien et à l’amélioration des compétences d’une profession. Les organisations syndicales représentatives défendent les intérêts d’une profession, les sociétés savantes gèrent les bonnes pratiques, mais aucune structure plus large n’était mobilisable pour travailler au sens scientifique du terme (complémentarités soulignées).
Les CNP ont plusieurs rôles dans le champ du DPC :
– maintien des compétences,
– recommandations sur les parcours DPC (guide facultatif)
– attester des parcours et de leur conformité : l’Etat définit l’annexe 1 et laisse le CNP définir la pertinence des thèmes dans l’annexe 2 c’est-à-dire en quoi la profession doit-elle avancer en compétences pour répondre aux enjeux populationnels ? aux enjeux organisationnels ?
– principe associé d’assurer la certification périodique dont les éléments attendus vont devoir être spécifiés par les CNP pour éclairer décision nationale
– appel à projet avec appel d’offre sur des thématiques : CNP invités à travailler sur le cahier des charges avec l’ANDPC, en désignant des experts puis choix des marchés retenus (d’où l’éviction de membres pouvant eux-mêmes répondre pour leur organisation à un cahier des charges).
Autre mission des CNP
la réponse aux sollicitations de l’HAS pour proposer des experts ou siéger comme partie prenante
Ce fût également un moment d’échange sur les attendus des orientations prioritaires du DPC et ce que recouvre la notion de parcours pluri annuel.